this post was submitted on 01 Jul 2023
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France

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Hop, !france@lemmy.world c'est finit, merci de migrer sur !france@jlai.lu

founded 1 year ago
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Super infographies, et chiffres affligeant.

Au passage on voit très bien l'inflexion a la période Chirac / Sarko premier ministre ou la police de proximité a été supprimée et les recrutements PN modifiés en faveur de profils plus agressifs.

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[–] blyatzKrieg@lemmy.world 9 points 1 year ago* (last edited 1 year ago) (1 children)

Bien essayé, tu tromperas ceux qui n'ont pas lu.

La plupart des personnes tuées suite à une action des forces de l’ordre n’avaient soit commis aucun délit, soit des délits mineurs (infractions au code de la route, tapage nocturne), soit des petits délits économiques (vol de voitures, vol à l’étalage), soit encore des infractions provoquées par l’interpellation elle-même (délit de fuite). Pourtant, ces cas constituent la moitié des personnes décédées des suites d’une intervention.

un profil de la victime est récurrent. Il s'agit d’un homme âgé de moins de 27 ans, au nom à consonance africaine ou maghrébine qui habite un quartier populaire en périphérie d’une agglomération comme Paris, Lyon ou Marseille. Cette géographie est sensiblement différente de celle des crimes et de la délinquance violente – homicides, coups et blessures volontaires, vols et violences avec armes, violences sexuelles – même si l’Île-de-France, et notamment Paris, ou la ville de Marseille demeurent des points chauds. Le taux d’homicides ou les violences sexuelles sont, par exemple, parfois plus élevés dans les petites villes et villes moyennes d’autres régions.

Parmi les 489 personnes tuées par balles, 275 n’étaient pas armées, soit 56%.

Il y a une sacrée marge d'amélioration, ils font n'importe quoi depuis 10-20 ans.

[–] Sup74oo@lemmy.world 3 points 1 year ago (1 children)

Le problème de cet extrait, c’est que l’on met en relation un écrit et une situation. Par exemple un vol de voiture ne mérite pas d’être abattu, mais si le voleur tente de renverser les policiers alors ça devient une arme par destination et la légitime défense existe. Mon souci avec cet article c’est qu’il ne prend pas en compte l’évolution de la loi de la légitime défense. Je le trouve très orienté, et dans ce cas il faut demander à changer la loi. Critiquer ceux qui l’appliquent (dans qu’ils restent dans la cadre) n’est pas utile. J’en veux pour preuve le revirement de certains politiques qui demandent un changement de loi alors qu’ils nous parlaient d’un crime au départ.

[–] ortaviz@lemmy.ca 3 points 1 year ago (2 children)

Je le trouve très orienté Critiquer ceux qui l’appliquent (dans qu’ils restent dans la cadre) n’est pas utile.

Tu ne peux pas analyser ces faits en te basant uniquement sur la loi, et faire comme si les hommes et femmes qui portent les armes n'avaient pas d'influences extérieures, de culture professionnelle, de préjugés hérités de leur prédécesseurs etc.

En l'occurence on oublie un peu vite qu'il n'y a pas si longtemps un groupe de discussion raciste, sexiste et homophobe de 8000 policiers avait été révélé par Mediapart, que ce n'est pas le premier du genre, et qu'il y a quelques livres écrits par d'ancien flics qui ont quitté le milieu à cause du racisme. Ça fait des années que ça dure. Oublier tout ça c'est aussi être un peu orienté.

[–] Sup74oo@lemmy.world 2 points 1 year ago

J’oublie rien de tout ça, mais dans chaque exemple cité dans l’article, nous n’avons ni le passif du policier ni celui de l’autre partie. Lors de son intervention, ça m’étonnerait qu’une des deux parties se lance dans un règlement de compte sur la base de l’origine ou des idées de l’autre.

Le tir ça reste un instant fugace.

Mon raisonnement est le suivant, le policier se lève pas en disant je vais buter un maghrébin aujourd’hui. Et la personne en face se dit pas je vais buter un flic.

Pour moi tout ceci est un enchaînent de cause/conséquence lié au stress et à un contexte. Et il est trop facile de se baser sur l’instant de la « bavure » pour juger l’ensemble de la vie d’une personne. C’est pour ça que j’attends les résultats d’une enquête, et que je me plie à la vérité judiciaire.

[–] Sup74oo@lemmy.world 2 points 1 year ago

J’oublie rien de tout ça, mais dans chaque exemple cité dans l’article, nous n’avons ni le passif du policier ni celui de l’autre partie. Lors de son intervention, ça m’étonnerait qu’une des deux parties se lance dans un règlement de compte sur la base de l’origine ou des idées de l’autre.

Le tir ça reste un instant fugace.

Mon raisonnement est le suivant, le policier se lève pas en disant je vais buter un maghrébin aujourd’hui. Et la personne en face se dit pas je vais buter un flic.

Pour moi tout ceci est un enchaînent de cause/conséquence lié au stress et à un contexte. Et il est trop facile de se baser sur l’instant de la « bavure » pour juger l’ensemble de la vie d’une personne. C’est pour ça que j’attends les résultats d’une enquête, et que je me plie à la vérité judiciaire.